La Ligne verte : un film profond et intemporel
Certains films nous touchent profondément. Il y a certains films qui ne se contentent pas de nous divertir et de nous faire passer un moment agréable, il y en a qui nous bouleversent et donnent réellement à réfléchir. C’est notamment le cas du célèbre film La Ligne verte de 1999, avec Tom Hanks et Michael Clarke Duncan
La Ligne verte, un film à part
La Ligne verte fait partie de ces films que nous pouvons difficilement classer dans une seule catégorie. Il est parfois défini comme dramatique, fantastique ou encore de science-fiction.
En réalité, tout le monde a raison, car ces catégories peuvent toutes correspondre à certaines parties du film. Il s’agit d’une adaptation du livre de Stephen King, Death Row.
Ce film n’est pas seulement à part parce que nous pouvons le mettre dans plusieurs catégories, il est à part de par son intrigue, son contexte et ses personnages. Le personnage principal de l’histoire est Paul Edgcomb (joué par Tom Hanks), responsable de la surveillance et de la gestion du couloir de la mort, aussi appelé la « ligne verte », de la prison de Cold Mountain (Louisiane), dans les années 1930.
Ce film n’est pas seulement à part parce que nous pouvons le mettre dans plusieurs catégories, il est à part de par son intrigue, son contexte et ses personnages. Le personnage principal de l’histoire est Paul Edgcomb (joué par Tom Hanks), responsable de la surveillance et de la gestion du couloir de la mort, aussi appelé la « ligne verte », de la prison de Cold Mountain (Louisiane), dans les années 1930.
Un jour, il voit sa vie totalement bouleversée avec l’arrivée d’un certain prisonnier, John Coffey, un homme de plus de deux mètres particulièrement musclé et sensible. Peu à peu, John montre qu’il a un don très spécial.
Tout au long du film, nous ressentons des émotions très différentes comme l’humour, le drame, le suspens ou encore la tristesse.
Accusé d’avoir tué deux filles, John Coffey se retrouve dans le couloir de la mort, mais tout au long du film, il fait preuve d’une grande sensibilité, avec la même innocence que celle d’un petit garçon.
Grâce à son don, ce prisonnier très particulier est capable de faire disparaître le mal que les gens ont en eux et en fait profiter les gens autour de lui.
John Coffey fait partie de ces personnes qui sont considérées comme de bonnes personnes, car il met son don au service de ceux qui en ont besoin, qu’ils soient bons ou non envers lui.
Une leçon très triste
Si John Coffey apparaissait dans nos vies, nous devrions veiller sur lui, en nous assurant qu’il fasse le bien partout où il se rend, pour contribuer à faire de ce monde un endroit meilleur.
Et pourtant, dans la Ligne verte, il se produit exactement le contraire. À cause de plusieurs événements liés, Johne finit exécuté sur la chaise électrique, et à un certain moment, il déclare même que c’est ce qu’il souhaite car il souffre trop de sa grande sensibilité.
Finalement, le monde dans lequel nous vivons n’est pas tellement différent. Les gens très sensibles ont parfois beaucoup de mal à se faire une place dans notre société devenue parfois insensible.